Sans lire ton titre, sans lire ton poème je regarde...et je vois:

une triste réalité et son reflet dans l'eau et ça fait....
Un beau poisson noir qui dort au soleil
pour protéger nos embarcations.
Un oeil coquin qui regarde la mer
avec beaucoup d'attention.
Une ligne d'eau qui varie
en fonction de nos tempêtes
thermomètre horizontal
de nos états d'âme.
Le cercle est un tout
la ligne un chemin.
Rien ne se perd, tout se transforme.
C'est avec de vieux pneus
qu'on fait d'la poésie un peu!
Voilà Joëlle j'ai peut-être dévié ton regard
un regard tant envié
car savoir photographier
c'est savoir regarder
la vie du bon côté
et c'est savoir partager.
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