Pleine lune, je l’ai vue, je n’ai pas cru.

Cette nuit il a levé l’ostensoir
Très haut jusqu’à plus voir
Le trésor d’hostie pour croire.
Comment croire que cet ostensoir cache l’espoir ?
Cercle diaphane
Lune ronde lune azyme

De ta lumière pâle
Périgée prêt à toucher
Sur la terre, les âmes.
JD. Le 27 mars minuit.
Commentaires
1 jill bill Le 28/03/2013
jamadrou Le 28/03/2013
Douce nuit jill
2 Mandoelle Le 29/03/2013
PS: tu as raison, je n'avais pas pensé au côté sombre des barbelés car j'ai vu le végétal dans son contexte. Voilà pourquoi mon poème n'avait rien d'angoissant d'ailleurs !
jamadrou Le 29/03/2013
Je viens de relire ta poésie sur les barbelés c'est vrai elle n'a rien d'angoissant bien au contraire! "à l'ombre des barbelés en fleurs je vais mon chemin..."
encore une journée sous le vent et le froid
Biz Joëlle.